NATACHA SIBELLAS
FRANÇOIS BERRUÉ
MAISON DES BEAUMONTOIS
RETOUR SUR L'ÉDITION 2020
NATACHA SIBELLAS
FRANÇOIS BERRUÉ
MAISON DES BEAUMONTOIS
Exaltation, Images of Religion and Death
Désirée Dolron
Avec la série Exaltation, Images of Religion and Death, Désirée Dolron a réalisé un reportage photographique sur les rites religieux dans le monde.
Ce travail est inspiré par les Danses à Bali de Henri Cartier-Bresson. Les images de corps scarifiés évoquent la culture punk.
Avec ce travail, elle invente un style à la fois plasticien et documentaire.
©Désirée Dolron
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Hôtel Fontfreyde, centre photographique
du mardi au dimanche de 14h à 19h
Agiographie
Anita Sciano
J'ai rassemblé les biographies de dix saints. Tous ces saints étaient des femmes et tués par le martyre. Je ne raconte l'histoire de chaque saint que d'un seul coup en utilisant le concept artistique de «Tableau vivant». Ce qui m'a poussé à travailler sur cette thématique, ce n'est pas seulement un intérêt religieux pour ces histoires, mais aussi une forte curiosité historique et artistique sur la façon dont le symbolisme artistique et l'iconographie sacrée parlent de ces femmes. Dans des zones différentes et éloignées, où les femmes étaient exclues de l'agrégation sociale, et ne valent rien, ni en tant qu'être humain, ni en tant que femmes, chacun d'eux a continué leurs idées malgré la mort.
C'est cette volonté de mort, cette résilience à la douleur qui m'a fait les aimer.
Chaque jour, dans trop de pays, trop de femmes souffrent de violences physiques, psychologiques, intellectuelles et sociales. Maintenant, nous connaissons des détails cruels et grossiers de ces histoires.
Hôtel Fontfreyde, centre photographique
du mardi au dimanche de 14h à 19h
©Anita Sciano
Sacré
MATTHIEU GAFSOU
Hôtel Fontfreyde, centre photographique
du mardi au dimanche de 14h à 19h
L’enquête photographique que livre Matthieu Gafsou sur l’église catholique fribourgeoise est sans concession, subjective et documentaire à la fois. Dans un mouvement dichotomique perpétuel entre le noir profond et un blanc presque éblouissant, s’exposent des vues architecturales lumineuses et inanimées, dont le photographe s’est d’ailleurs fait une spécialité, et les figures qui incarnent l’église et ses liturgies représentées dans des clairs-obscurs caravagesques. On ne peut s’empêcher de ressentir ce travail au travers du spectre de l’histoire de l’art tant le rôle de l’église a été important dans cette perspective. Dans ses compositions rigoureusement construites et soignées, c’est un peu de la grandeur de l’art sacré et du mécénat ecclésiastique que Matthieu Gafsou évoque en même temps qu’il décortique une iconographie catholique un peu bling bling et dépassée.
Pour Matthieu Gafsou, la mort est omniprésente dans l’espace de l’église: «Les murs des couvents s’effritent, la relève ecclésiastique n’est pas assurée, on peut percevoir le manque d’argent et le dogme s’adapte avec difficulté à la société actuelle», c’est la tristesse de cette tragédie de décadence, qui a touché le photographe, qui illustre cette fin de règne avec beaucoup de poésie. L’ironie pointe ça et là et l’on sent un regard critique mais il ne s’agit pas d’un procès à charge.
©Matthieu Gasfou
Eres una maravilla
MAGALI LAMBERT
Magali Lambert est une ouvrière du songe qui opère au grand jour, une inventrice d’onirique exilée dans la conscience. Elle tamise les vide-greniers, les marchés, les rues, les tiroirs oubliés, garde ce que nous n’avons pas retenu, ce que la vie a délaissé mais que le temps a conservé, ce qui aurait pu être jeté pour de bon mais semble avoir été sauvé de la destruction par son insignifiance même. De ce matériau brut, de ces éléments pauvres, désuets, cassés ou rococos, naturels ou artificiels, elle tire des créations, des machines à mettre en marche l’imagination, à la familiarité troublante, presque dérangeante tant il est perturbant de retrouver dans la vraie vie ce qui ne s’actionne que dans le sommeil.
Chaque cliché de la série du projet « Eres Una Maravilla (Tu es une merveille) » est empreint d’onirisme et de cruauté, et il s’imprime sur notre rétine comme ces rares images de contrebande qui nous restent au matin et que nous contemplons avec une certaine amertume puisque, du puzzle, nous ne possédons plus que quelques pièces. L’envie de voir ces inventions en mouvement se heurte constamment à leur absence mais cette frustration est contrebalancée par un émerveillement d’archéologue et une curiosité qui nous revient de l’enfance.
Hôtel Fontfreyde, centre photographique
du mardi au dimanche de 14h à 19h
©Magali Lambert
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Attrition & Totems
THOMAS DEVAUX
Hôtel Fontfreyde, centre photographique
du mardi au dimanche de 14h à 19h
Le travail de Thomas Devaux met en oeuvre une plasticité rudérale, au sens d’une création de formes à partir de restes. De ces premiers Collages aux plus récents Reliquaires, en passant par les séries Attrition — dont le titre signifie une perte de substance par usure et frottement — le plasticien compose ses représentations sur les ruines d’images premières, en déstructurant puis en réagençant des corps partiels ou complets dont il recueille les traces. Puisant sa matière, visuelle ou organique, dans les vernissages, il réinvestit les codes de ce théâtre social, à la visibilité contrôlée, dans une imagerie qui emprunte ses traits à l’art religieux.
Résolument athée, l’oeuvre de Thomas Devaux aborde toutefois cette iconographie comme un répertoire de formes désormais « vestigiales », pour reprendre le terme de Jean-Luc Nancy, ultimes survivances d’un monde qui fait le deuil de sa transcendance. Prenant place dans une économie du trivial, elles donnent corps à des figures aussi charnelles que vaporeuses dont le caractère fétiche questionne à nouveaux frais la plasticité du désir et son rapport à l’art.
La série DOMINANCE confronte l’iconologie religieuse chrétienne à l’esthétique Fetish / BDSM (Bondage, Discipline, Sado-Masochisme) en créant des liens visuels qui mettent en évidence de nombreuses similitudes : recherche du sacré, création de rituels et de codes, instrumentalisation de la douleur et de la souffrance.
Les deux mondes s’appuient sur les mêmes schémas alors que, dans l’esprit commun, l’un est jugé néfaste et l’autre salvateur.
Au final, DOMINANCE se transforme en tentative de démonstration de l’importance du point de vue, au sens propre du terme, et fait finalement la part belle à une certaine forme d’empathie tout en nous rappelant que notre vision est intimement liée à la culture dans laquelle nous baignons.
Depuis qu’il a pris sa retraite en tant qu’employé de l’État de Virginie, Bill Malbon, qui était déjà pasteur pour les mariages depuis 1992, a eu la bonne idée en 2005 de construire la première petite église mobile aux États-Unis. L’église de 30 mètres carrés est construite sur le modèle d’une église de campagne traditionnelle avec des fenêtres gothiques et un vrai clocher. L’église peut accueillir jusqu’à 25 personnes et dispose de bancs. Bill Malbon parcourt ainsi avec sa petite chapelle les villes et la campagne de Virginie pour proposer des insolites et originaux mariages à bas prix. Il s’est même aventuré plus loin dans l’est des États-Unis. L’église a un clocher mais aucun signe d’appartenance à une dénomination particulière ; c’est une église non confessionnelle qui autorise les mariages de toutes confessions religieuses, catholiques, protestantes, juives, orthodoxes, musulmanes…
Ricard Terré, né à Sant Boi de Llobregat (Barcelone) en 1928, mort le 29 octobre 2009 à Vigo, est un photographe espagnol célèbre pour ses photographies de processions catholiques. Après avoir suivi des cours à l’école des Hautes Études Économiques de la Ciudad Condal (Barcelone), il fait son entrée dans le monde des arts comme peintre et caricaturiste et ne commence à pratiquer la photographie qu’à partir de 1955, au moment où il rencontre les membres de la Société photographique de Catalogne.
En 1960, il abandonne la pratique de la photographie. Après une longue parenthèse, il reprend en 1982 son activité de photographe et participe à diverses expositions individuelles et collectives aussi bien nationales qu’internationales.
©Jean-Baptiste Carhaix
Paramentique sacrilège
JEAN-BAPTISTE CARHAIX
Chapelle de l'Hôpital général, rue Sainte-Rose
du mardi au dimanche de 14h à 19h
Il faut être folle pour s’habiller comme ça ! La «paramentique» est l’ensemble textile destiné à vêtir les fonctionnaires du dieu catholique et orthodoxe pour les cultes ainsi qu’à décorer les autels. Cet ensemble est composé de riches étoffes brodées d’or ou d’argent, parfois de fils de couleurs. Le vestiaire liturgique est extravagant, luxueux la plupart du temps, moins depuis Vatican II, sans compter sur les accessoires en métaux précieux destinés à servir la messe : ciboires, ostensoirs, reliquaires, croix... La prêtrise se complaît en paradant devant les humbles fidèles qu’il faut méduser. Pour moi,ces amples chasubles et autres chapes brodées n’ont rien de viril. Aussi j’ai pensé rendre à César ce qui devrait lui appartenir et j’ai commencé à revêtir des femmes et des jeunes filles de chasubles et d’autres chapes somptueuses pour les photographier dans des poses de saintes ou de mystiques telles que l’iconographie baroque les représente : la paramentique est cousue et brodée pour elles ! Elle renforce leur beauté alors qu’elle ridiculise les curés !
En savoir + sur Jean-Baptiste Carhaix
Abandon explore le phénomène des fêtes et de leur rôle dans la psychologie de leurs adeptes. Notre époque contemporaine est marquée par une dissolution de la famille - pour beaucoup d’individus, le sentiment d’appartenance se crée désormais sur le terrain de la culture et des idéologies plutôt que dans le lien filial, et les fins de semaine se sont dotées de nouvelles messes rassemblant des fidèles
en quête de dépassement de soi et d’expérience transcendantale, ou
simplement de représentation sociale - qui viennent parfois combler un sentiment d’insatisfaction, de frustration sexuelle, de solitude ou plus simplement un manque de sens.
La dualité qui réside autant dans les motivations de vivre ces expériences que dans ce que chacun en retire, donne à cette série une matière complexe et parfois contradictoire.
Pélerinage de Sainte Elidie
MICHEL VASSET
Centre Camille Claudel, 3 rue du Maréchal-Joffre
du mardi au dimanche de 14h à 19h
Il est des images qui vous regardent. Celles de Michel Vasset, entre autres, quand bien même le sujet choisi, le pélerinage de Sainte Elidie à Saint-Alyre d'Arlanc, ne nous concerne pas ou peu.
Ce qui pourrait n'être qu'anecdote, folklore, antique bondieuserie, devient vivant, vital. Pourquoi cela?
Cette journée particulière s'étire entre 1976 et 1987 ; douze années de prises de vues qui se mèlent, s'assemblent, s'intriquent tissant une trame autant réelle qu'imaginaire ?
Quelque chose vous a attendu et vous tend la main.
L'instant devient moment, durée, temps déployé et non plus poussière s'en allant au vent.
J’avoue ne plus compter vraiment (depuis bien longtemps) mes années d’activité professionnelle dans la publicité, l’édition, la presse, l’industrie et le tourisme.
Cependant, une expérience émerge de mes souvenirs. Cette proposition des éditions du Cerf, par le père Nicolas-Jean Sèd qui m’a ouvert le champ infini des spiritualités chrétiennes et conduit à découvrir les chemins exigeants de la liturgie orthodoxe russe jusqu’à l’évêque Hilarion Alfeyev, aujourd’hui métropolite de Volokolamsk, et président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou.
A l'époque de mon reportage en 2003, il était évêque de Vienne et d’Autriche et dirigeait les travaux de rénovation de la cathédrale orthodoxe russe de Vienne et notamment supervisait les fresques. Ainsi, c’est à l’occasion de la Pâques orthodoxe, que l’on m’a offert l’insigne honneur de réaliser ce reportage sous la protection de l’évêque Hilarion Alfeyev, dans l’intimité sacrée des officiants.
JOËL DAMASE
Splendeurs du mystère Orthodoxe Russe
Alma dei
JEAN CEREZAL-CALLIZO
Centre Camille Claudel, 3 rue du Maréchal-Joffre
du mardi au dimanche de 14h à 19h
Toute chose a son contraire et la vie, en tant que totalité, serait régie par cette dialectique sur la base d'une relation d'équilibre plus ou moins instable entre les êtres qui la composent.
Lorsque nous nous observons dans un miroir, l'image que nous avons de nous-même est inversée. Métaphoriquement nous parlons de l'autre côté du miroir via le reflet qui s'y trouve, comme de l'existence d'un autre aspect des choses.
Le sujet était de confondre l'icône du Christ crucifié avec son image.« Tout ce que nous disons, faisons, pensons, n'est qu'une projection de nous-même ».
©Jean Cerezal-Callizot
En savoir + sur Jean-Cerezal-Callizo
Maison des Beaumontois, 21 rue René Brut, Beaumont
du lundi au vendredi de 9h à 19h
samedi de 10h à 12h
NATACHA SIBELLAS & FRANÇOIS BERRUÉ
Et si le ciel était vide
Que l'on ait la foi, que l’on soit en France ou en Amérique Latine, que l'on appartienne à une communauté religieuse ou pas, les lieux de cultes, églises, cathédrales, etc., fascinent souvent, par leurs architectures , peintures, sculptures, fresques,
triptyques, diptyques, et objets de piété..
Tout ce qui les compose suffit à indiquer la sacralité du lieu.
Aussi profanes que nous soyons, à l’occasion de voyages en Amérique du Sud, nous avons voulu montrer l’atmosphère de ces lieux emprunts de mystère, car le mystère attire tout autant le profane que le croyant. L’attirance est là, toutes portes ouvertes, on entre dans ces édifices, regards portés de bas en haut avec l’envie de découvrir et de comprendre.
Pourquoi tant de dévotion, pourquoi ce dictat de la foi, pourquoi représente t-il un immense réservoir d'énergie, voire une source de vie inépuisable ?
Mille questions se posent aux profanes que nous sommes sur ces chemins de croyances dont nous n’avons pas les clés. Toutes ces bondieuseries excessives, nous « amen » a fixer ces clichés insolites pour l’éternité..
©Natacha Sibellas
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Chapelle de l'Hôpital général, rue Sainte-Rose
du mardi au dimanche de 14h à 19h
WILLIAM POUGHEON
Profanes dévotions
Ce travail s'articule autour de la transcription d'images mentales préalablement déterminées, précautionneusement élaborées en scènes abouties, bien en amont du moment de la prise de vue..
Chacune est pensée dans son individualité, comme un tout autonome, et non pas dans une logique de développement sériel.
À travers ses photographies, William Pougheon façonne un univers fantasmagorique dont la cohérence d'ensemble,
au-delà d'un esthétisme marqué, se nourrit de jeux de correspondances symboliques.
De Faunes en déesses, d'anges déchus en figures mythologiques, Profanes dévotions déploie sous notre regard sa collection d'objets d'idôlatries..
©William Pougheon
Et s'ils étaient parmi nous
DIDIER GUYOT
Galerie Sténopé, 5 rue de la Treille
du mardi au dimanche de 14h à 19h
À travers cette série de portraits, sélectionnés tout spécialement pour la biennale Nicéphore+, il donne, aux disciples de jadis, le visage de citoyens connus ou méconnus, croisés ou aperçus, de notre temps, tels qu’il aurait pu être, peut‐être, si ces apôtres étaient aujourd’hui quelque part parmi nous.
©Didier Gutot
En savoir + sur Didier Guyot
"Challenge La Fayette"
ou la réinvention d'une oeuvre d'art
ÉLÈVES DU LYCÉE LA FAYETTE
Logidôme, 16 rue Buffon - Clermont-Ferrand
lundi, mardi, mercredi, vendredi de 8h15 à 12h15 et de 13h à 16h / jeudi de 8h15 à 12h15
Pour cette action de médiation culturelle, ce sera la deuxième participation du Lycée La Fayette de Clermont‐Ferrand.
Sur le principe du challenge Getty Museum de Los Angeles, qui a été lancé en mars 2020 sur les réseaux sociaux,
les élèves en bac pro du Lycée La Fayette sont invités à s’exprimer en recréant une image pieuse à travers le médium photographique.
Cette année, ce sera sur les grilles de Logidôme, que ces élèves des classes terminales vont nous donner à voir une exposition de ces photographes en devenir.
Les lieux d'expositions du festival
Hôtel Fontfreyde, centre photographique
31 rue des Gras, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
Tram ligne A (arrêt Jaude ou Gaillard).
Bus : lignes B, 6, 9 et 10 (arrêt Blatin),
lignes 5 et 32 (arrêt Gaillard).
Parking Jaude et Saint-Pierre.
Chapelle de l’ancien Hôpital général
rue Sainte-Rose, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
Tram ligne A (arrêt Gaillard).
Bus : lignes 5 et 32 (arrêt Gaillard).
Parking Saint-Pierre et place de la Liberté.
Logidôme
16, rue Buffon, Clermont-Ferrand
lundi, mardi, mercredi, vendredi de 8h15 à 12h15 et de 13h à 16h / jeudi de 8h15 à 12h15
Accès et stationnements :
Tram ligne A (Arrêt Delille Montlosier)
Parking cathedrale
Maison des Beaumontois
21, rue René-Brut, Beaumont
Du lundi au vendredi de 9h à 19h
Samedi de 10h à 12h
Accès et stationnements :
Bus : lignes 8 12 et 27
(arrêt Mairie de Beaumont).
Parkings à proximité.
Salle Gaillard
2, rue Saint-Pierre, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
Tram ligne A (arrêt Gaillard).
Bus : lignes 5 et 32 (arrêt Gaillard).
Parking Saint-Pierre.
Centre Camille-Claudel
3, rue Maréchal-Joffre, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
BHNS B (arrêt Ballainvilliers).
Bus : lignes 3, 4, 6, 8, 9, 10, 12 et 13 (arrêt Ballainvilliers).
Parking Blaise-Pascal.
La Droguerie
42, rue du Port, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
Tram ligne A (Arrêt Delille Montlosier)
Parking cathedrale
Galerie Sténopé (Direction)
5, rue de la Treille, Clermont-Ferrand
Du mardi au dimanche de 14h à 19h
Accès et stationnements :
Tram ligne A (Arrêt Delille Montlosier)
Parking cathedrale